L’INFOX : Des ours qui baisent en famille : la montagne a accouché d’un cousin

La sonnette d’alarme est tirée : dans les Pyrénées, les ours bruns font tourner la généalogie façon Rubik’s Cube. Un mâle a été vu en train de conter fleurette à… sa nièce. Et c’est pas une métaphore : le test ADN a clignoté comme une guirlande de Noël dans un PMU de Luchon.

« On a affaire à une boucle fermée de poils et de chromosomes », déclare Didier, généticien amateur et fan de Motörhead.

En résumé : ils sont 70 dans les montagnes, mais 68 ont le même grand-oncle. Le seul qui reste un peu différent est slovène, et il fait toujours la gueule.

Une solution ? Les envoyer dans le Nord. Puis on a réfléchi.

Devant ce désastre incestueux, un fonctionnaire a soufflé : “Et si on les mettait dans le Nord ? Y a de la place, de la bière, et les ours y passeraient inaperçus au milieu des oncles chelous.”

Le Conseil National des Stéréotypes (CNS) a alors voté une motion d’urgence pour rappeler les faits :

“Non, tous les Nordistes ne se reproduisent pas entre cousins dans un Mobil-Home en beuglante.”

Mais selon une étude de l’INRIEB (Institut National de Recherche sur l’Image des Émissions de Barbecue), 66 % des Français pensent qu’un ours consanguin picolant à 9h du mat’ s’intégrerait parfaitement à Maubeuge.

Portrait-robot d’un ours nordisé

On a tenté une simulation.
Voici Ursus D., après 3 semaines dans la Somme :

“Il mate Bienvenue chez les Ch’tis en boucle et réclame du maroilles en intraveineuse”, témoigne une assistante sociale de Fourmies.
“On l’a même vu pisser sur une éolienne. C’est un début d’intégration.”

Ursin + Ursine = Ursibien ? Pas vraiment.

La descendance pose problème. Selon les projections génétiques, un croisement prolongé donnerait lieu à des oursons à 5 pattes, sans sens de l’orientation, et avec l’accent du Pas-de-Calais couplé à celui d’un vieux ours slovène. Incompréhensible. Même pour Jean-Michel Groçomaudot, linguiste spécialisé en grognements régionaux.

La DREAL alerte :

“L’écosystème ne survivra pas à des ours qui hurlent ‘Hein biloute, ramène le potjevleesch !’ tout en rotant du Ricard.”

Réflexion globale : la consanguinité, c’est pas que chez les ours

Finalement, ce scandale urso-sexuel nous tend un miroir. Oui, le problème de la consanguinité n’est pas réservé aux ours bruns ou aux communes à une seule rue et trois prénoms. La France profonde est pleine de mystères, d’héritages communs, et de Noël où “Tonton” et “Beau-Papa” sont techniquement… la même personne.

Mais au moins, les ours, eux, n’ont pas d’apéro Ricard dès 10h, ne hurlent pas sur des gendarmes et ne se battent pas en claquettes-chaussettes.

L’INFO : Une diversité génétique en danger

Depuis les années 1990, des ours bruns ont été réintroduits dans les Pyrénées, notamment des individus slovènes, pour renforcer une population locale en voie d’extinction. Malgré cela, leur isolement géographique provoque une consanguinité préoccupante. Plusieurs études alertent sur la baisse de diversité génétique, qui pourrait à terme menacer leur viabilité.

Pourquoi pas ailleurs ?

L’idée de les réintroduire dans d’autres régions comme le Nord de la France est écologiquement absurde : climat, habitat, alimentation, cohabitation humaine… rien ne s’y prête. Le Nord a d’autres enjeux écologiques, mais l’ours n’en fait pas partie.

Des pistes sérieuses existent

Les solutions les plus réalistes incluent :

• Encourager les échanges entre massifs montagneux (Pyrénées, Alpes)
• Introduire d’autres individus non-apparentés
• Travailler en coopération transfrontalière avec l’Espagne
• Sensibiliser les habitants à la cohabitation et aux enjeux de biodiversité

Les ours ne sont pas des punchlines, ce sont des indicateurs de la santé écologique d’un territoire. Et accessoirement, ils boivent moins que Gérard du PMU.

Catégories : Zoologie

Crédit Photo : Chat GPT 4o