11 avril 1946 fermeture des maisons closes parisiennes www.fucknews.fr

11 Avril 1946 : 20.000 prostituées parisiennes trouvent porte close l’entrée de leurs maisons closes suite à la loi de Marthe Richard.

L’INFOX : Du rififi dans les boxons : quand Marthe Richard fermait les bordels pour remettre un peu d’ordre

Marthe Richard, la tueuse de lanterne rouge

Paris, 11 avril 1946 – C’est une journée historique pour les rideaux de velours rouge et les matelas à ressorts fatigués. Ce jour-là, Marthe Richard, conseillère municipale et ancienne espionne reconvertie en Justicière des Jupes Courtes, dégaine une loi aussi tranchante qu’un string en fil barbelé : les maisons closes, c’est fermé, terminé, rideau, out !

« C’est pas Versailles ici, c’est Pigalle ! », aurait-elle crié en claquant la porte d’un boxon mal aéré, selon des sources très peu sûres.

20 000 travailleuses du sexe remerciées avec un « bonne continuation »

Dans un geste de modernité teintée de grande hypocrisie sociale (l’époque adorait ça), 20 000 femmes se retrouvent licenciées sans indemnités, ni ticket resto, ni RTT. La France libérée ne veut plus de ses bordels, mais conserve avec une certaine tendresse ses autres lieux de plaisirs coupables : les clubs de bridge, les églises bondées et les apéros anisés.

Un ex-tenancier anonyme, surnommé « Pépé Le Pimp », témoigne :

« On nous ferme les maisons, mais les hôtels de passe tournent toujours ! Ils ont juste changé l’enseigne pour mettre « Love Hôtel » en lettres roses fluo. Marthe, elle nous a pas tous eu ! »

Le flou juridique et la créativité entrepreneuriale

La loi Marthe Richard, aussi floue qu’un selfie pris avec un Nokia 3310, laisse des brèches. Certaines maisons de tolérance deviennent des « pensions pour jeunes femmes actives à horaires flexibles », d’autres se reconvertissent en salons de thé très… décontractés.

Petit tableau comparatif des reconversions post-loi :

Ancienne maison closeNouvelle activité déclarée
Le Chat BottéCentre de massage félin
La Déesse du 7eAtelier d’art contemporain
Les Trois NanasConciergerie haut de gamme

Un nom, une légende : Marthe Richard ou Marthe la Faucheuse

Elle avait tout : la vibe espionne d’un OSS 117 version féminine, l’élégance d’un film noir, et le charisme d’une DRH qui t’annonce un « plan de réorganisation » un vendredi à 18h. Elle voulait « moraliser la République », et elle a réussi à sceller la fin d’un pan de la culture populaire française, avec un sourire d’institutrice qui te colle une colle.

En 2025, on en rigole encore… ou pas

Chaque 11 avril, quelques nostalgiques fêtent la « journée de la fermeture éclair », en hommage à cette purge textile. Des reconstitutions loufoques ont lieu dans certains musées vivants du sud-ouest, où des bénévoles déguisés en clients de 1946 se font refouler par des figurantes syndiquées.

« C’était pas un métier facile, mais au moins, on faisait du chiffre », raconte Simone, 97 ans, ancienne hôtesse d’accueil au « Cœur en Culotte de Soie ».

🛑 Disclaimer : toute ressemblance avec un maire actuel ou une fermeture de club libertin en 2020 serait purement fortuite. Ou pas.


L’INFO : Traitement réaliste

Le 11 avril 1946, la loi portée par Marthe Richard, ancienne espionne et figure politique engagée, met fin à l’existence officielle des maisons closes en France. Plus d’un millier d’établissements sont contraints de fermer, affectant environ 20 000 femmes prostituées qui y travaillaient dans un cadre (relativement) encadré.

Cette décision, portée par une volonté de moralisation de la société d’après-guerre, s’inscrit dans un vaste mouvement hygiéniste et féministe, bien que paradoxalement, elle n’ait pas offert de solutions de reconversion ou de soutien à ces travailleuses. Beaucoup se retrouvent dans une précarité encore plus grande, livrées à la clandestinité, ce qui aura des conséquences sanitaires et sociales majeures.

Certaines « maisons » ont pu détourner la loi en se redéclarant sous d’autres formes, et le phénomène prostitutionnel s’est déplacé vers l’invisible, rendant les femmes encore plus vulnérables à l’exploitation.

Cette loi est encore débattue aujourd’hui dans le cadre des discussions autour de la dépénalisation du travail du sexe, de la traite des êtres humains, et de la reconnaissance des droits des travailleurs du sexe


Catégories : Histoire


Crédit Photo : Chat GPT 4o

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