L’INFOX :
15 Mars -44 : Assassinat de César, par une cinquantaine de sénateurs qui lui feront un coup de chien en le hachant menu comme de la chair à pâté
Jules César : Un Empereur en Boîte 

Rome, 15 mars -44 – La scène s’apparente à un banquet mal organisé : Jules César, habitué aux louanges et aux ovations du Sénat, se retrouve soudain transformé en chair à pâté. Une cinquantaine de sénateurs se ruent sur lui avec leurs dagues, le découpant avec une application qui force le respect (et l’horreur).
Un coup monté digne d’un traquenard canin 
Le destin a parfois un humour douteux : alors que César pensait se rendre à une simple réunion politique, il se retrouve la vedette d’un « buffet froid ».
« Tu quoque, Brute ? » (« Toi aussi, Brutus ? »), aurait murmuré l’Empereur en voyant son fils spirituel lui asséner un coup final. Un peu comme un chien trahi par son maître qui lui aurait promis une friandise mais lui tend en réalité un rendez-vous chez le vétérinaire.
César, une marque qui traverse les siècles 

Le plus ironique dans cette histoire, c’est qu’aujourd’hui, César est toujours un nom connu… mais surtout dans les rayons des supermarchés. Qui aurait cru que l’empereur finirait non pas dans les livres d’histoire, mais en pâtée pour chien ? À croire que son assassinat était un coup marketing avant l’heure.
Comparaison fatale :
Jules César | Pâtée César |
---|---|
Grand conquérant | Grande marque de pâtée |
Assassinée par 50 sénateurs | Approuvée par 50 vétérinaires |
Chef de Rome | Chef du rayon alimentation canine |
Devait régner sans partage | Se partage en petites portions |
L’INFO :
Un assassinat prémédité
Contexte politique : César, un dictateur qui dérangeait
Jules César n’était pas un simple chef d’État : après avoir conquis la Gaule et éliminé ses rivaux, il s’était arrogé des pouvoirs exceptionnels. En -44, il est nommé dictateur à vie, ce qui inquiète une grande partie du Sénat.
Rome, alors encore officiellement une République, voyait d’un très mauvais œil ce pouvoir absolu. De nombreux sénateurs, dont Brutus et Cassius, craignaient que César ne se proclame roi. Une idée insupportable pour l’élite romaine, farouchement attachée à son système républicain.
Le complot et l’assassinat
Plusieurs sénateurs s’unissent pour organiser l’élimination de César. Le 15 mars -44, ils le piègent dans le Théâtre de Pompée, où le Sénat devait se réunir. Dès son arrivée, il est encerclé et poignardé 23 fois.
D’après Suétone et Plutarque, César se défend d’abord, mais lorsqu’il reconnaît Brutus parmi les assassins, il cesse de lutter et prononce la célèbre phrase : « Tu quoque, mi fili ? » (« Toi aussi, mon fils ? »).
Conséquences de l’assassinat
- Loin de restaurer la République, l’assassinat de César plonge Rome dans une nouvelle guerre civile.
- Marc Antoine et Octave (futur Auguste) prennent les armes contre les assassins.
- En quelques années, Octave devient le premier empereur de Rome sous le nom d’Auguste, mettant fin à la République et instaurant l’Empire romain.
Ironiquement, les meurtriers de César, en voulant sauver la République, ont précipité sa fin.
Catégories : Histoire
Crédit Photo : Grok 3